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Je dois vous avouer que je suis troublé, chère Demoiselle,
De penser à vous et d'attendre de vos nouvelles
Mon indépendance est un grillage qui m'entoure
à travers duquel je regarde les vautours
J'ai croisé votre regard profond et poignant
parmi tant d'autres celui ci semble m'avoir frôler l'âme
mes songes désormais empreint de vous sont séduisants
Laissez moi vous courtisez sans devenir ma dame
vivons ensemble le beau, l'instant saisissant
oh Demoiselle, soyez ma princesse juste ce soir !
Prenez ma main, les promesses au placard
regardez ici ce que je vous offre en mes lieux
partageons nos trésors, soyons le feu
la flamme dans le cœur
le corps enflammé
soyons le feu
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